Arno Bertina est l’auteur de deux romans aux éditions Actes Sud, Le Dehors ou la migration des truites [2001] et Appoggio [2003], d’un récit paru sous le pseudonyme de Pietro di Vaglio, La Déconfite gigantale du sérieux [Lignes, 2004], et d’une fiction biographique consacrée à Johnny Cash, J’ai appris à ne pas rire du démon [Naïve, 2006]. Aux Éditions Verticales, il a publié un roman foisonnant, Anima motrix [2006], un récit, Ma solitude s’appelle Brando [2009], un roman picaresque, Je suis une aventure [2012] et un grand roman sur le monde du travail, Des châteaux qui brûlent (2017). Aux éditions Le Bec en l’air, il est l’auteur de La Borne SOS 77 [coll. Collatéral , 2009] avec le photographe Ludovic Michaux, Numéro d’écrou 362573 [coll. Collatéral, 2013] avec la photographe Anissa Michalon, Détroits avec le photographe Sébastien Sindeu [2012] et Étonnamment étonnée avec le photographe Frédéric Lecloux [2013].
Arno Bertina est l’auteur de deux romans aux éditions Actes Sud, Le Dehors ou la migration des truites [2001] et Appoggio [2003], d’un récit paru sous le pseudonyme de Pietro di Vaglio, La Déconfite gigantale du sérieux [Lignes, 2004], et d’une fiction biographique consacrée à Johnny Cash, J’ai appris à ne pas rire du démon [Naïve, 2006]. Aux Éditions Verticales, il a publié un roman foisonnant, Anima motrix [2006], un récit, Ma solitude s’appelle Brando [2009], un roman picaresque, Je suis une aventure [2012] et un grand roman sur le monde du travail, Des châteaux qui brûlent (2017). Aux éditions Le Bec en l’air, il est l’auteur de La Borne SOS 77 [coll. Collatéral , 2009] avec le photographe Ludovic Michaux, Numéro d’écrou 362573 [coll. Collatéral, 2013] avec la photographe Anissa Michalon, Détroits avec le photographe Sébastien Sindeu [2012] et Étonnamment étonnée avec le photographe Frédéric Lecloux [2013].