Né à Oran en 1937, poète, critique et essayiste, Malek Alloula s’est installé à Paris à partir de 1967. Il est décédé à Berlin, où il était en résidence, en février 2015. Par son œuvre discrète, il est un acteur majeur de la poésie algérienne. Il se révèle aussi critique d’art à travers son livre Le Harem colonial, images d’un sous-érotisme [éditions Slatkine, 1980 – éditions Séguier, 2001], où il met à nu l’imagerie coloniale et ses stéréotypes. Parmi ses publications, Villes et autres lieux [Bourgois, 1979 – Barzakh, 2007], Les Festins de l’exil [Françoise Truffaut, 2003] et Le Cri de Tarzan [Barzakh, 2008]. Au Bec en l’air, il est l’auteur en 2005 d’un des textes d’Alger 1951. Un pays dans l’attente en accompagnement des photos d’Etienne Sved, d’un autre dans Algérie Indépendance en 2009 sur les photos de Marc Riboud et d’un dernier dans Alger sous le ciel en 2014.
Né à Oran en 1937, poète, critique et essayiste, Malek Alloula s’est installé à Paris à partir de 1967. Il est décédé à Berlin, où il était en résidence, en février 2015. Par son œuvre discrète, il est un acteur majeur de la poésie algérienne. Il se révèle aussi critique d’art à travers son livre Le Harem colonial, images d’un sous-érotisme [éditions Slatkine, 1980 – éditions Séguier, 2001], où il met à nu l’imagerie coloniale et ses stéréotypes. Parmi ses publications, Villes et autres lieux [Bourgois, 1979 – Barzakh, 2007], Les Festins de l’exil [Françoise Truffaut, 2003] et Le Cri de Tarzan [Barzakh, 2008]. Au Bec en l’air, il est l’auteur en 2005 d’un des textes d’Alger 1951. Un pays dans l’attente en accompagnement des photos d’Etienne Sved, d’un autre dans Algérie Indépendance en 2009 sur les photos de Marc Riboud et d’un dernier dans Alger sous le ciel en 2014.