Payram est un photographe né à Téhéran en 1959 et vivant à Paris. Depuis son départ d’Iran en 1983, chassé par la révolution islamique, il développe un travail photographique autour de la fragilité de sa condition d’exilé qu’il met en parallèle avec la fragilité du médium argentique, notamment du Polaroid, instantané et unique. Tel un alchimiste, Payram expérimente la transformation de la matière, la trace lumineuse.
Son travail photographique, empreint de poésie, est présent dans de nombreuses collections publiques (Bibliothèque nationale de France, Macedonian Museum of Contemporary Art...). En 2011, il a publié Syrie 55 (Éditions Gang), témoignage bouleversant sur Alep, Damas et Lattaquié, puis a démarré sa série sur les traces de Paul Nadar. En 2017 il a fait paraître Il y a beaucoup de lumière ici (Le Bec en l’air). Cette série très personnelle sur son exil a fait l’objet de nombreuses expositions dont un solo show à Paris Photo. Il est représenté par la galerie Florent Maubert, à Paris.
Payram est un photographe né à Téhéran en 1959 et vivant à Paris. Depuis son départ d’Iran en 1983, chassé par la révolution islamique, il développe un travail photographique autour de la fragilité de sa condition d’exilé qu’il met en parallèle avec la fragilité du médium argentique, notamment du Polaroid, instantané et unique. Tel un alchimiste, Payram expérimente la transformation de la matière, la trace lumineuse.
Son travail photographique, empreint de poésie, est présent dans de nombreuses collections publiques (Bibliothèque nationale de France, Macedonian Museum of Contemporary Art…). En 2011, il a publié Syrie 55 (Éditions Gang), témoignage bouleversant sur Alep, Damas et Lattaquié, puis a démarré sa série sur les traces de Paul Nadar. En 2017 il a fait paraître Il y a beaucoup de lumière ici (Le Bec en l’air). Cette série très personnelle sur son exil a fait l’objet de nombreuses expositions dont un solo show à Paris Photo. Il est représenté par la galerie Florent Maubert, à Paris.